SYLVICULTURE, DEFINITION
» Plantez un arbre, semez l’avenir «
Par définition, La sylviculture englobe l’ensemble des pratiques de gestion et d’aménagement des forêts, qu’il s’agisse de peuplements naturels ou plantés. Du semis à la coupe raisonnée, de la régénération naturelle à la plantation ciblée, elle vise à produire du bois de qualité, à maintenir les équilibres écologiques et à générer des services durables : protection des sols, régulation de l’eau, séquestration du carbone, habitat pour la biodiversité et ressources pour les communautés locales.
-Définition de la sylviculture
La sylviculture « du peuplement au paysage »
La sylviculture « du peuplement au paysage »La sylviculture, ou plus largement la gestion durable des forêts, vise à créer un équilibre naturel et productif du système forestier par la diversification des essences, l’étagement des strates et les complémentarités entre sol, arbres, faune et climat.En tant que gestion active et pérenne, la sylviculture est un pilier du paysage rural et naturel, indispensable à la santé économique des territoires, à condition que les forestiers en maîtrisent les techniques et les filières. Véritable couteau suisse, la forêt gérée allie production et services écosystémiques. La sylviculture garantit des forêts vivantes, résilientes et multifonctionnelles.Quelques bénéfices concrets :
Climat : les arbres captent le CO₂ et libèrent de l’oxygène. Ils stockent le carbone dans leur biomasse (bois, racines) et favorisent sa séquestration dans les sols forestiers. Ils régulent le climat local, atténuent les vagues de chaleur et amortissent les tempêtes.
Eau : les forêts régulent le cycle hydrique ; meilleure infiltration, protection des sources, réduction de l’érosion et du ruissellement, filtration naturelle des eaux…
Sol : diversité des essences, litière permanente et racines structurent le sol, enrichissent l’humus et maintiennent la fertilité. La sylviculture s’inspire du cycle naturel de la forêt pour limiter les intrants et préserver la vie du sol.
Biodiversité : les peuplements diversifiés créent des habitats riches pour la faune et la flore, favorisent la pollinisation, la dispersion des graines et la régulation naturelle des ravageurs. Ils assurent une trame verte continue, évolutive dans le temps et l’espace.
Bien-être humain : la forêt gérée offre bois d’œuvre, énergie, produits forestiers non ligneux (fruits, résine, miel…), mais aussi ombre, fraîcheur, loisirs et santé mentale pour les communautés locales.
Climat : les arbres captent le CO₂ et libèrent de l’oxygène. Ils stockent le carbone dans leur biomasse (bois, racines) et favorisent sa séquestration dans les sols forestiers. Ils régulent le climat local, atténuent les vagues de chaleur et amortissent les tempêtes.
Eau : les forêts régulent le cycle hydrique ; meilleure infiltration, protection des sources, réduction de l’érosion et du ruissellement, filtration naturelle des eaux…
Sol : diversité des essences, litière permanente et racines structurent le sol, enrichissent l’humus et maintiennent la fertilité. La sylviculture s’inspire du cycle naturel de la forêt pour limiter les intrants et préserver la vie du sol.
Biodiversité : les peuplements diversifiés créent des habitats riches pour la faune et la flore, favorisent la pollinisation, la dispersion des graines et la régulation naturelle des ravageurs. Ils assurent une trame verte continue, évolutive dans le temps et l’espace.
Bien-être humain : la forêt gérée offre bois d’œuvre, énergie, produits forestiers non ligneux (fruits, résine, miel…), mais aussi ombre, fraîcheur, loisirs et santé mentale pour les communautés locales.